Bottomless, épisode 5

Une femme habillée, c’est banal. Une femme nue, c’est banal. Une femme aux seins nus, c’est banal. S’il n’y en a pas encore plein les rues, il y en a plein les plages, plein les magazines, plein le web. Ce qui n’est pas banal, c’est une femme « cul nu », sans le bas, bottomless.

On a déjà montré quelques femmes cul nu dans ce blog : La très belle Ana Maria photographiée par Emel Bayram, les Vénus modernes qui ne cachent que leurs seins, l’Aphrodite impudique de K. Jordan, Trish Goff dans l’article précédent. Je vous propose un cinquième épisode avec quelques photos de Jo Graetz en support à un micro débat sur le triangle « bottomlesness-pudeur-sensualité ».

not ladylike,jo graetz

Jo Graetz a appelé cette première photo : « NOT LADYLIKE ? », ce qu’on pourrait traduire par : « Une vraie lady se comporterait-elle comme ça ? » Réponse : Non ! Une vraie lady ne se balade pas la chatte à l’air comme une pute, pour parler cru. Et bien oui, c’est ça le truc du bottomless. Ne montrer que sa chatte (ou son cul), ce n’est pas comme se balader à poil (ce qui est naturel) ou montrer ses seins (la mère allaitante les montre aussi). Ne montrer QUE sa chatte, c’est offrir son sexe à celui qui fait la photo (et à ceux qui la regarde). C’est ça qui est fun !

Deuxième photo de Graetz : « ASHAMED – OR NOT ? » En termes de moralité et depuis la nuit des temps, la fille qui montre son corps nu (et, a fortiori, son sexe) doit avoir HONTE. C’est le principe même de la pudeur : Oups ! On voit mes fesses ; je rougis ; je les cache parce que j’ai honte. Celles qui n’ont pas honte sont des putes. D’accord. Et si plus aucune fille n’avait honte ?

[Les photos de Jo Graetz sont visibles par tous sur son site deviantart]

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